Push the limits.
Le plaisir. Nécessaire mais non suffisant pour obtenir la satisfaction. Car c’est bien de cela qu’il s’agit à présent. Allez plus vite, c’est une forme de satisfaction, c’est celle que je recherche depuis deux ans. Le plaisir, je l’ai de toute façon en travaillant sur l’auto. J’en ai aussi à chaque fois que le Duratec de l’Exige se met à rugir. Cette voiture est unique, et je sais qu’elle peut aller très vite. Elle est dans mon garage, c’est un bon début. Pour continuer à progresser, j’ai deux axes majeurs sur lesquels je dois travailler. En effet, je ne parviens plus à progresser si je ne m’astreins pas à une forme de rigueur et de travail.
Le set up de l’auto:
La géo, l’amortissement, l’aéro, les pneus, les freins… Une possibilité de réglage infinie. Chaque circuit, chaque conditions de piste, et autant de nouvelles combinaisons sont possibles. Je ne suis qu’un amateur, et il faut tout apprendre, tout découvrir. Observer, faire le tri entre ce qui marche, et ce qui est supposé marcher. Tester, essayer, se planter, s’emmêler les pinceaux, et parfois Bingo. Une perf.
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L’engagement au volant:
Pour aller vite, il faut être techniquement au point en terme de pilotage, mais pas seulement. Il faut pouvoir toucher ses limites, les repousser, sans jamais sur-conduire. Dans le lent, la technique bien maitrisée sera suffisante. Dans le rapide, la sérénité et l’engagement vous font gagner des secondes entières. Mon ami Jean-Baptiste Meusnier du Team Performans Engine n’a de cesse de me le répéter depuis maintenant deux ans depuis qu’il participe à la LCE. Seule la Course peut faire repartir la course de progression à la hausse, car elle impose un niveau de concentration maximum, et un objectif de résultat…
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Gentleman driver.
Lotus 111.